Vous avez sans doute déjà entendu parler de poste à souder TIG et MIG. Toutefois, vous ne savez pas concrètement ce que représentent ces deux postes à souder. Dans cet article, nous présentons le poste à souder MIG et TIG. Suivez-nous pour en savoir plus.
Poste à Souder MIG
Le poste à souder MIG met en œuvre un arc en dessous d’une protection gazeuse. En effet, il dispose d’une électrode fusible qui sert aussi comme métal d’apport. Ainsi, l’électrode, le bain de fusion et le métal envoyé dans l’arc sont protégés grâce à un flux gazeux inerte de l’air ambiant, d’où la définition du nom MIG « Métal Inert Gas ». Dans le soudage manuel, on qualifie ce produit de « semi-automatique », car le fil subit une déviation automatique au moment de son amorçage de l’arc. Pour en savoir plus sur le sujet, faire un tour sur le site https://www.posteasouder.fr/ .
On distingue le MIG pulsé dans lequel le courant subit une variation lors du soudage, subissant ainsi une forme d’onde spécifique du générateur. En effet, le pulsé s’utilise pour des fils en acier inoxydable et les alliages légers. Nous avons aussi le MIG synergique dans lequel les réglages de soudage sont programmés avec le générateur afin d’évoluer en fonction d’une loi prédéfinie. Dans ce cas, un réglage devient alors nécessaire. Ainsi, l’utilisation des différends devient plus facile et de plus la qualité de soudage en est améliorée.
Poste à souder TIG
La méthode de soudage TIG est une technique de soudage à l’arc à l’aide d’une électrode non fusible et si besoin avec un métal. L’acronyme TIG « Tungsten Inert Gas » désigne une électrode et « Inert Gas » désigne la typologie du gaz plasmagène qui est utilisé. En effet, l’arc électrique est créé entre la pièce à souder et l’électrode, le tout protégé grâce à un gaz ou une combinaison de gaz rares comme l’hélium et l’argon. Ainsi, la flamme générée par le chalumeau traditionnel est remplacée par l’arc électrique. Notons que la soudure à l’arc se base sur l’augmentation de la température des éléments à assembler au point de fusion grâce à un courant continu ou alternatif.
Par ailleurs, le soudage est souvent effectué par polarité directe. Pour les alliages et les métaux (inox, aciers, titane, cuivreux, nickel) exceptés s’il s’agit des alliages légers du magnésium ou d’aluminium où la soudure est faite par polarité alternée. Dans ce cas, la soudure en polarité inversée n’est pas envisageable par risque de détruire l’électrode.